La seule interview de Soraya, compagne de Kendji Girac : “Elle n’est pas en colère mais…”, une journaliste dévoile les coulisses.

Hélas, le drame d’avril, qui laisse Kendji entre la vie et la mort va tout chambouler ! Soraya y assiste aux premières loges et va être la première à devoir assumer la violence du tourbillon médiatique qui se déclenche, jusqu’à l’étranger où le sort du vainqueur de The Voice saison 3 (en 2014) qui s’est tiré dessus suscite la plus grande curiosité. Kendji étant dans l’incapacité de répondre, c’est vers sa compagne que se tournent tous les regards. Que s’est-il passé ? Que va-t-elle faire ? La machine médiatique s’emballe. Le magazine Paris Match croit savoir que Soraya, “dans une colère profonde” serait partie en Suisse avec leur fille Eva Alba le jour du chantage au suicide au cours duquel le chanteur s’est blessé par balle. La presse entière reprend l’info.
Entre-temps, la machine judiciaire s’est emballée, incarnée par le procureur de la République de Mont-de-Marsan soucieux visiblement d’informer le public sur le moindre détails des faits sur lesquels il a eu à se pencher. Il délivre une foule d’informations qui jusque là n’étaient pas connues, dont beaucoup lui ont été livrées par la jeune femme lors de son audition.
Pour Soraya, qui a toujours voulu préserver sa vie privée et son anonymat, c’en est trop. Quelques jours après l’article de Paris Match, souhaitant mettre un terme aux “contre-vérités“, elle décide d’accorder une interview à Marie Poussel, une consoeur du Parisien qui connaît très bien Kendji.

Après avoir donné des nouvelles de son compagnon, “miraculé”, elle met les choses au clair “Je n’ai jamais voulu m’exprimer avant, car ce n’est pas moi l’artiste, ni moi qui suis dans la lumière. C’est lui. Aujourd’hui, je ne peux laisser dire et écrire des choses fausses sur Kendji ou notre couple. Des éléments de ma vie privée ont été divulgués sans mon accord, ou encore transformés. Ils ne correspondent pas à la vérité. Je ne peux pas laisser faire cela.” Et la jeune femme de préciser notamment que jamais elle n’est partie en Suisse avec sa fille, que jamais elle n’a subi de violences psychologiques, que jamais Kendji n’a fait avec elle un chantage au suicide, qu’elle n’a pas été, comme on l’a lu, dans une colère profonde…
“Il faut réconforter Soraya, elle doit vraiment dire le fond de sa pensée…”

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